jeudi 20 décembre 2007

Nuit du 9 au 10 novembre 2007

Tout commence au moment où je dois aller chercher la clé du sommeil profond dans le soutien gorge de Pauline S., coté seins gauche.

Ensuite je me retrouve dans une sorte de jeux vidéo, pour pouvoir utiliser la clé, je dois tuer des monstre et récupérer les objets qu’ils me donnent.

Je regarde donc sur mon radars où sont les monstres et je me trouve dans de grande pièces assez colorées, avec beaucoup de coins, de marches et de pilonnes en marbre.

Ce qui est marrant, c’est que les monstres sont tout petits, invisibles à l’œil nu, alors je regarde où ils se trouvent sur le radars et je les écrase avec mes pieds, après cela il apparaît des objets; des pailles fluorescentes, des petites pilles plates, une balle de baby-foot, une paire de ciseau, des petits parasols à cocktail et encore de multiples autres choses.

Au moment où mes poches sont pleine, j’arrive dans une petite salle avec une boite qui a une serrure, je retrouve la clé du sommeil profond et j’ouvre la boite, j’y trouve alors une autre clé qui me propulse dans un autre environnement ; après réflexion, je pense bien que c’était la clé du ru rêve lucide.

A ce moment je suis conscient que je rêve mais juste assez pour pouvoir remarquer que je rêve sans pouvoir réellement le modifier ou le casser.

Je remarque alors que là où je suis propulsé, c’est chez mon frère, je discute donc avec lui, sa femme et Magali ; ensuite je joue un peu avec Lucas dehors.
Il fait super beau, le soleil brille et je respire la joie de vivre.

A un moment je vois un chat qui ouvre la gueule, je me demande ce qu’il peut y avoir à l’intérieur, je met alors ma tête dans sa gueule, puis mes épaules, et je pousse jusqu’à ce que mon corps soit entièrement rentré dedans.

Malheureusement, je ne me souviens pas de ce qu’il y a à l’intérieur du chat, mais je me retrouve dans un festival le nuit en pleine ville de Liège, et apparemment je suis bourré.

S’en suit une discussion sans grand intérêt avec un parfait inconnu sur le prix trop élevé d’un nouvel opiacé plutôt léger vendu sans ordonnance en pharmacie.
Même la pharmacienne est d’accord là dessus.

Je quitte la discussion pour aller vois les concerts, sur la route je rencontre Mathieu le Tahitien, je lui dis bonjour, il me rend la pareil et me dis qu’il n’as pas le temps de discuter car il doit retrouver quelqu’un.
Je lui rétorque qu’on est dans un rêve, et qu’il peut à tout moment se téléporter à côté de la personne en question ou la faire venir ici.
Il me regarde sceptique et dit qu’il préfère quand même y aller à pied.

Je poursuit mon chemin vers la scène et arrive devant de la superbe arteck, je me met à danser comme un dégénéré, me roulant même par terre et gueulant des bruits bizarre à tout vas.
Plusieurs personnes me regardent d’un mauvais œil, mais je m’en fout, je suis dans un rêve, rien à foutre de leurs morale à la con.

Après un bon moment de transe provoquée par la danse et la musique, je ressort de la gueule du chat.
Après être sortit, je commence à le caresser, mais il se met à convulser, et un autre chat sort de sa gueule.
Je me dis que c’est fout tout ce qu’on peut mettre dans un chat.

Je suis dans la cours ensoleillé de la maison de mon frère et il y a comme avant cette sensation de grande joie, mais cette fois il n’y a plus personne dehors.

Je rentre alors dans la maison et cette fois la joie laisse place à une sensation de solitude causé par un rejet (c’est assez dur d’expliquer l’état mental dans les rêves, mais je trouve que c’est la sensation qui s’en rapproche le plus).

Il n’y a plus que Magali qui se repose dans un transat ; je lui demande où son les autres.
Elle me répond qu’elle pense qu’ils sont là bas, et me montre du doigt une entrée qui mène à la salle des petits monstres invisibles de mon deuxième rêve.

Je retourne dans cette salle mais ne me souviens de rien ensuite.

Lorsque je commence à me ressouvenir de mon rêve, je suis à nouveau au festival de Liège la nuit, et je pelote soigneusement le seins droit d’une très jolie fille.
Elle commence alors à me masturber et je me met à la doigter.
Au bout d’un moment je suis proche de l’orgasme, je me demande alors si je doit tout lâcher dans mon caleçon dans le rêve, et encore pire, tout lâcher dans mon pyjama dans la réalité.

En attendant, je me concentre pour penser à autre chose dans le rêve pour faire durer plus longtemps le plaisir.

Finalement au moment où je me décide à tout lâcher, je commence à me réveillé tout doucement et je n’aurais pas eu le droit à l’orgasme.

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