vendredi 21 décembre 2007

Nuit du 22 au 23 Novembre 2007

Je me trouve dans un gigantesque labyrinthe sur plusieurs étages avec de nombreux escaliers en colimaçons, mais sans marches et sans barrières de protections.

Après m’être bien perdu pendant pas mal de temps, je trouve un commissariat dans le labyrinthe et demande à une flic si elle sait où se trouve l’architecte de cette sublime infrastructure.
Elle me répond qu’il se trouve là bas, tout en me montrant une ouverture dans un mur un peu plus loin.

J’y vais et arrive dans une grande salle avec pas mal de monde qui dansent sur de la drum’n’bass, et le DJ mixe dans une immense bibliothèque.

L’architecte danse aussi, je vais le voir pour discuter, il me dis q’il vaut mieux sortir parce qu’ici on ne s’entend pas parler et que c’est bourré de flics.

Je sors donc du labyrinthe avec lui; là bas je rencontre un noir et je suis enceinte de lui.
Je lui propose donc de nous marier.

jeudi 20 décembre 2007

Nuit du 9 au 10 novembre 2007

Tout commence au moment où je dois aller chercher la clé du sommeil profond dans le soutien gorge de Pauline S., coté seins gauche.

Ensuite je me retrouve dans une sorte de jeux vidéo, pour pouvoir utiliser la clé, je dois tuer des monstre et récupérer les objets qu’ils me donnent.

Je regarde donc sur mon radars où sont les monstres et je me trouve dans de grande pièces assez colorées, avec beaucoup de coins, de marches et de pilonnes en marbre.

Ce qui est marrant, c’est que les monstres sont tout petits, invisibles à l’œil nu, alors je regarde où ils se trouvent sur le radars et je les écrase avec mes pieds, après cela il apparaît des objets; des pailles fluorescentes, des petites pilles plates, une balle de baby-foot, une paire de ciseau, des petits parasols à cocktail et encore de multiples autres choses.

Au moment où mes poches sont pleine, j’arrive dans une petite salle avec une boite qui a une serrure, je retrouve la clé du sommeil profond et j’ouvre la boite, j’y trouve alors une autre clé qui me propulse dans un autre environnement ; après réflexion, je pense bien que c’était la clé du ru rêve lucide.

A ce moment je suis conscient que je rêve mais juste assez pour pouvoir remarquer que je rêve sans pouvoir réellement le modifier ou le casser.

Je remarque alors que là où je suis propulsé, c’est chez mon frère, je discute donc avec lui, sa femme et Magali ; ensuite je joue un peu avec Lucas dehors.
Il fait super beau, le soleil brille et je respire la joie de vivre.

A un moment je vois un chat qui ouvre la gueule, je me demande ce qu’il peut y avoir à l’intérieur, je met alors ma tête dans sa gueule, puis mes épaules, et je pousse jusqu’à ce que mon corps soit entièrement rentré dedans.

Malheureusement, je ne me souviens pas de ce qu’il y a à l’intérieur du chat, mais je me retrouve dans un festival le nuit en pleine ville de Liège, et apparemment je suis bourré.

S’en suit une discussion sans grand intérêt avec un parfait inconnu sur le prix trop élevé d’un nouvel opiacé plutôt léger vendu sans ordonnance en pharmacie.
Même la pharmacienne est d’accord là dessus.

Je quitte la discussion pour aller vois les concerts, sur la route je rencontre Mathieu le Tahitien, je lui dis bonjour, il me rend la pareil et me dis qu’il n’as pas le temps de discuter car il doit retrouver quelqu’un.
Je lui rétorque qu’on est dans un rêve, et qu’il peut à tout moment se téléporter à côté de la personne en question ou la faire venir ici.
Il me regarde sceptique et dit qu’il préfère quand même y aller à pied.

Je poursuit mon chemin vers la scène et arrive devant de la superbe arteck, je me met à danser comme un dégénéré, me roulant même par terre et gueulant des bruits bizarre à tout vas.
Plusieurs personnes me regardent d’un mauvais œil, mais je m’en fout, je suis dans un rêve, rien à foutre de leurs morale à la con.

Après un bon moment de transe provoquée par la danse et la musique, je ressort de la gueule du chat.
Après être sortit, je commence à le caresser, mais il se met à convulser, et un autre chat sort de sa gueule.
Je me dis que c’est fout tout ce qu’on peut mettre dans un chat.

Je suis dans la cours ensoleillé de la maison de mon frère et il y a comme avant cette sensation de grande joie, mais cette fois il n’y a plus personne dehors.

Je rentre alors dans la maison et cette fois la joie laisse place à une sensation de solitude causé par un rejet (c’est assez dur d’expliquer l’état mental dans les rêves, mais je trouve que c’est la sensation qui s’en rapproche le plus).

Il n’y a plus que Magali qui se repose dans un transat ; je lui demande où son les autres.
Elle me répond qu’elle pense qu’ils sont là bas, et me montre du doigt une entrée qui mène à la salle des petits monstres invisibles de mon deuxième rêve.

Je retourne dans cette salle mais ne me souviens de rien ensuite.

Lorsque je commence à me ressouvenir de mon rêve, je suis à nouveau au festival de Liège la nuit, et je pelote soigneusement le seins droit d’une très jolie fille.
Elle commence alors à me masturber et je me met à la doigter.
Au bout d’un moment je suis proche de l’orgasme, je me demande alors si je doit tout lâcher dans mon caleçon dans le rêve, et encore pire, tout lâcher dans mon pyjama dans la réalité.

En attendant, je me concentre pour penser à autre chose dans le rêve pour faire durer plus longtemps le plaisir.

Finalement au moment où je me décide à tout lâcher, je commence à me réveillé tout doucement et je n’aurais pas eu le droit à l’orgasme.

Rêve de septembre: La grande épopée

Ce rêve est un rêve qui m’est déjà arrivé dans le passé il y a quelques années ; c’est un rêve dans lequel je rentre dans une grotte avec pleins d’autres personnes et où chacun vit des expériences qui ont un rapport avec leurs vie, leurs peurs, leurs sentiments, leurs plaisirs, etc…

Cette nuit j’apprend que ça vas recommencer, je demande à pleins d’amis si ils veulent qu’on y aille tous ensemble, sachant bien que l’on vas inexorablement se perdre de vue à un moment.

Je met pas mal de temps pour appeler et réunir tous le monde, c’est assez marrant car sur les téléphones portables lorsque l’on appelle quelqu’un il y a une image qui s’affiche à la place du nom, et Mathilde P. a une image digne des plus belles visions sous DXM, par contre je suis un peu triste car Claire n’est pas là.

La grotte se trouve au bout d’une grande étendue d’eau; pour y accéder, on doit tout d’abord marcher sur des gros tuyaux jaune et bleu au dessus de l’eau.

On y vas donc gaiement, y’a pas mal de monde, il se trouve même le loup des trois petits cochons qui nous dépasse, je me dis que c‘est un type qui contrôle son rêve et qui s’amuse.

Arrivé au bout des tuyaux, l’eau est remplies de bouées, tonneaux, canots en bois et pneumatiques, radeaux, bouts de bois, etc… qui sont emmenés par un courant vers la grotte.
Ils servent de moyen de transport et les trois quart sont déjà en possession de divers individus.

Je saute dans l’eau et repêche un canot pneumatique dégonflé et entreprend de la gonfler.
Nounours me dit que je le gonfle mal, il m’énerve à toujours me critiquer pour des trucs cons, mais je redouble de rapidité pour lui montrer que je sais bien gonfler les canots pneumatiques.

Un petit moment plus tard, nous avons tous un moyen de transport et on dévie lentement vers la grotte.
J’entend alors une voie féminine derrière moi qui prononce mon prénom, je me retourne et voit une fille dont le visage ne me revient pas, j’ai sûrement dû discuter avec elle lors d’une soirée où j’étais bourré.

On discute ensemble, pendant ce temps mes amis prennent de l’avance ; Cedric S. m’appel pour me dire qu’ils vont bientôt entrer dans la grotte et qu’ils ne m’attendent pas, je lui répond que j’arrive bientôt, je discute un peu, de toute façons on se retrouvera bien à un moment à l’intérieur.

Je rediscute donc avec la fille et elle me dis "Au fait tu te… toujours" tout en imitant le fait de s’injecter quelque chose dans la veine de son bras.
Je jette un regard incrédule et lui répond que je ne me suis jamais rien fixer.
Elle me dis alors "Ouais, c’est ce qu’on dit", et je lui répond "Mais c’est vrai !!!"

Après ces quelques phrases, elle me sourit puis se transforme en gargouille et s’envole.
Je prend donc conscience que c’était un "cauchemar", la salope elle m’a bien eu !

Je me retourne pour voir s’il y a encore quelqu’un que je connais près de la grotte, mais je ne vois que des inconnus.

Ensuite je me r’approche lentement de l’entrée de la grotte… Puis je me réveil.

lundi 12 novembre 2007

Rêve de Septembre avec Tabac

Lorsque je prends une infusion de tabac avant d'aller dormir, en plus d'avoir une importante sudation, les rêves sont très étranges.
Je vais donc mettre ici un petit passage dont je me souviens.

La vision de ce rêve n'est pas à la première personne, mais vue du dessus ou plutôt de l'intérieur.

Je vois deux personnes de forme humanoïde et de sexes opposées nues et entourées de deux ou trois balles de la taille d'un ballon de foot.
Ils ne font que se mouvoir dans tous les sens dans le cercle de ma vision , mais le truc intéressant, c'est que tout est de feu, les humanoïdes, les balles et tous le décor, et ma vision est totalement à l'intérieur de ce feu rouge et jaune.

C'est vraiment sublime et éblouissant.

En même temps j'ai entendu la phrase: "Help the slut for a crazy movie"

Rêve de Septembre

Un type me montre des biscuits pour le goûter, il a des Pepitos, des petits sablés, des galettes au beurre et des gaufrettes.

Il m'explique que ce sont des nouvelles formes d'ecstasy et que la MDMA est directement mise à l'intérieur lors de la préparation du biscuit.
Je trouve ça formidable comme invention.

Apparemment les Pepitos sont super fort.

Nuit du 30 au 31 Août 2007

Je suis dans une vieille cave noire et humide, et mes pieds sont plongés dans de l'eau.

J'aperçois des cages contenant des animaux, principalement des chats et quelques chiens; j'ouvre toutes les cages pour qu'ils puissent sortir.

Je vois alors d'autres cages contenant des femmes nues et sales, il n'y a aucune connotation sexuelle dans le fait qu'elles soient nues, je les libère.

Je ne sais plus trop ce qui se passe ensuite car ce rêve est tiré de vieilles notes, mais je libère plus tard une autre femme de je ne sais où qui était détenue par je ne sais qui, et là il se trouve une forte connotation sexuelle, vu qu'ensuite on baise.

Je prends alors conscience que je rêve , d'ailleurs merde, mon rêve est en train de disparaître, et je commence à me réveiller, mais en fait je me réveille dans un autre rêve.
Dans le rêve où je suis réveillé j'essaie au maximum de continuer à contrôler le rêve dans lequel je baise; mais j'ai du mal alors je commence à me branler.

Au moment où je vais éjaculer dans les deux rêves, dans celui où je suis réveillé je ne me trouve plus dans mon lit mais devant les WC.
Je gicle alors une montagne de sperme, il y en a partout, sur et dans les chiottes, au plafond, sur les murs devant moi, dans mes cheveux et sur mon visage.

Je me dis alors: "Woaw, je vais devoir nettoyer tout ça!!!".
Puis je réfléchis et remarque que je n'ai pas eu d'orgasme. "Ah bah merde alors, je suis toujours en train de rêver, je me suis encore fait avoir!!!" me dis-je.

Mais temps pis, cette éjaculation m'a trop fatigué et j'ai la flemme de contrôler mon rêve, alors je retourne dans mon lit pour me recoucher.

jeudi 30 août 2007

Nuit du 29 au 30 août 2007

Pas loin de chez moi, dans mon petit village paumé, je remarque qu’il se trouve un distributeur d’œufs en plastique renfermant des petits jouets pour les gamins.

Je remarque que le distributeur recrache des pièces de 1€ et 2€ de temps en temps, en le secouant, j’arrive à en faire sortir plein, ainsi qu’un bonne rivière de sable.

Je prends donc toutes ces pièces dans mes poches, le sable avec… Pourquoi prendre le sable? J’en sais rien…

Plus tard, je vois une colonie de vacances avec deux charmantes animatrices arriver près du distributeur, quelques gosses viennent acheter des œufs en plastique, tandis qu’une des animatrices préfère prendre des bandes dessinées à l’intérieur du distributeur.

Ah bah oui, car maintenant on peut rentrer dans le distributeur, et on dirait pas de l’extérieur, mais l’intérieur est vachement grand!!!

En plus des œufs, il se trouve justement pas mal de bandes dessinées, je regarde un peu ce qu’il y a, Gaston Lagaffe, Boule et Bill, Cédric, Achille Talon… Je préfère prendre l’argent; vu que je suis pas loin, je pourrai retourner les lire sur place si l’envie m’en prend.


Entracte :
Je suis avec Chamo, Cedric S. et Pauline S.
Chamo va à la friterie du coin, lorsqu’il revient avec des frites, son nez est tout fin.
Il nous explique qu’il y avait une offre spéciale à la friterie, et qu’il s’est fait refaire deux fois le nez pour 900€.
Fin de l’entracte.


Je me retrouve dans une sorte de labyrinthe, j'ai un coéquipier et on a des flingues.
Je vois l'équipe adverse, c'est Bukowski et avec un autre type, au début j'ai crus que c'était Burroughs, mais je trouvais ça bizarre qu'ils soient ensemble.

Bukowski est non ivre, heureux et vivant (?).
On se tire dessus pendant un petit moment, jusqu'à ce que je me retrouve à un ou deux mètres de Buk, à ce moment je flippe complètement, mon bras tremble et aucun de mes tirs ne l'atteignent.
Je me suis donc enfuit mais il me suit toujours en riant.

A un moment je ressens fortement les battements de mon coeur, je me retourne alors au ralenti, je vise la tête et tire deux balles, la première ne le touche pas tandis que je vois la seconde aller tout droit dans son front.
La balle est au ralenti et je peux voir distinctement son impact lorsqu'elle touche et traverse son crâne.

Je me tourne alors vers la droite toujours au ralenti pour voir le second adversaire, cette fois ce n'est vraiment pas Burroughs, mais un type assez gros du genre la caricature de l'américain moyen.
Je continue de tirer et lui envoie deux balles dans le ventre; il s'écroule.

Je suis vraiment soulagé et le temps reprend son cours normal, par contre je me dis qu'il va falloir que je ramène les cadavres à l'accueil pour qu'ils puissent les ressusciter.


Dans mon dernier rêve, je suis dans une école supérieure Belge, il fait beau, le soleil brille et tous le monde a attrapé le virus de la goule.

Personne ne sait ce que cela va engendrer, mais il y a déjà eu des personnes très malades, avec fièvre et vomissement, ainsi que des morts.

Au bout d'un moment je ressens le premier symptôme, et je vois qu'il apparait sur mon front d'étranges symboles ressemblant aux hallucinations provoquées pas les champignons.
Je suis très heureux, et j'ai hâte de voir ce que ce virus va provoquer, mais malheureusement je me réveil un peu plus tard.

lundi 20 août 2007

Nuit du 15 au 16 août 2007

Je suis dans une baignoire, avec moi il y a aussi Arthur F., et un couple de noirs ; on est tous à poil.

La femme est super bandante, je commence à lui caresser le sein droit tout en lui proposant un truc à quatre.

Elle me dit qu’elle doit voir ça avec son mari, ils se concertent, et pendant ce temps je continue de caresser les parties intimes de cette jolie négresse.

Au bout d’un moment elle refuse l’offre, son mari ne veut pas.

Je me dis alors "Merde c’est quand même con que je ne puisse pas tirer mon coup alors que je suis dans un rêve!"

Juste après avoir pensé cette phrase, je me réveille d’un coup dans la tente, Arthur F. à mes côtés, je lui dit que c’est bête qu’on ai pas pu se la faire.

Il me répond que de toute façon, physiquement il aime pas trop les noires.

Tiens je me dis que c’est marrant, on a vraiment fait le même rêve au même moment… En réalité j’étais bien tranquillement en train de dormir dans mon pieu, et je me suis une fois de plus fait avoir par un faux réveil.


Dans un autre rêve, il fait jour et je suis en ville.

Je suis un clochard ou un truc dans le genre, en tout cas je crois bien être bourré et j’ai une putain d’envie de chier.

Je cherche partout dans la ville des toilettes publics, une bibliothèques, un bar, enfin, un endroit où je puisse aller chier.

Au bout d’un moment j’en peux plus, je mets ma main dans mon froc, et je chie dans ma main; je mets mes sels dans la première poubelle venue, mais l’envie de déféquer est toujours là, alors je réitère plusieurs fois ce geste en attendant de belles toilettes en marbre blanc.

Au bout d’un moment j’arrive dans un petit parc, je vois alors une dizaine de GI avec mitraillettes et tout le bordel avancer vers un type qui pointe un flingue dans leur direction.

Un des GI, se met alors à gueuler et à mitrailler dans la direction du type au flingue, il le crible de balles ainsi qu’un autre GI qui était devant lui.

Son chef arrive alors pour l’engueuler et lui dire que ce qu’il à fait, c’est mal.


Dans mon dernier rêve je me souvient d’une belle blonde nue avec de jolie petits seins, mais c’est tout ce dont je me souviens.

Nuit du 28 au 29 Juillet 2007

Je suis dans la rue, je vois par hasard à travers la fenêtre d’une maison des gamins de 7 à 9 ans qui font le salut Hitlérien avec un type moustachu d’une quarantaine d’années.
Je lève alors mes deux bras en l’air pour leur faire deux gros fuck.

La maison d’après je vois un type apprendre des chansons facho à 3 gosses, j’attends qu’ils me remarquent et réitère mon geste obscène.

Ensuite je vois le Vélodrome pas loin, alors j’y entre.

Le moustachu me suit, me prend par le col, et m’engueule parce que j’ai fait des fuck à son gosse pendant son anniversaire.
Je luis réponds juste assez pour qu’il comprenne que c’est un gros con et ne pas me soumettre, mais aussi juste assez pour qu’il ne m’explose pas la gueule.

L’autre facho vient l’aider et je me prends quelques tartes, mais ça va, j’ai pas trop mal.

Les deux types partent et je remarque alors que ce n’est pas Cedric qui sert au bar mais Chamo.

Bon, la première phase de mon rêve est complètement bidon.


Plus tard je me retrouve en train de jouer avec un tas de types assez jeunes, ils doivent m’attraper pour je ne sais quelle raison.

Au bout d’un moment je remarque que le ciel se couvre, et il y apparaît de très jolis champignons formés de nuages noir.

Dans ma fuite, car on essaie toujours de m’attraper, j’arrive sur le balcon d’une maison suivi de 8 autres personnes.

A ce moment le ciel est entièrement recouvert de nuages d’un noir très profond, il commence à pleuvoir un peu et de très jolis éclairs apparaissent.
En plus des éclairs de très grand spectres arrivent devant nous, manteaux en lambeau et yeux retournés, il en apparaît de plus en plus à chaque éclair.

Autour de moi tous les autres ont super peur, quant à moi ils me fascinent, je regarde de façon extatiques ces êtres ectoplasmiques venir lentement vers nous.

Il y en a un qui me touche avec ça main, en fait il me traverse plutôt, et je ressens toute son énergie passer au travers de mon corps (ndlr : un peu comme l’esprit rencontré sous DXM).


Je ne me souviens pas vraiment de la suite, mais plus tard je me retrouve dans la maison d’Isaline G., elle ne ressemble pas du tout à sa maison, mais c’est pourtant bien elle.
Je veux faire une blague, alors je me cache, mais arrivé devant Patrick G., Isaline G. et sa grande sœur (dans la réalité je ne pense pas qu’elle aie de grande sœur…) ils ne me voient pas.

Il faut que je me mette à parler pour qu’ils me remarquent enfin, je suis devenu invisible.
Je me dis que ça doit être un coup des spectres, ça m’apprendra à trop vouloir explorer l’inconnu.

jeudi 28 juin 2007

Nuit du 27 au 28 juin 2007

Je ne me souviens plus de la première partie de mon rêve.
Je ne me souviens donc pas comment je suis arrivé au milieu de cette salle remplie d'hommes et de femmes nus avec une jeune asiatique d'une quinzaine d'années qui me suce la bite.
En tout cas, elle le fait super bien et elle est très mignonne.

Plus tard, beaucoup de gens sont coupés en deux, et la partie inférieure de certaines personnes se transforme en loup garou.
L'un d'entre eux court après moi pour me bouffer, et il est rapide le salaud.
Heureusement, j'arrive à l'enfermer à clef dans une maison.
Je me demande ce que je vais en faire, mais tout se termine bien, en appelant Aniol et en le tannant un peu, il finit par l'adopter.

lundi 18 juin 2007

Nuit du 17 au 18 Juin 2007

Petite dodo de 6H30, mais les nuits sont particulièrement oniriques en ce moment.

Je suis dans un super marché, c’est super, je retrouve plein de types que je connaissais au collège, même des personnes dont je ne me souvenais même plus de l’existence.

Je discute avec eux tout en achetant pour 2 euros un assortiment de bonbons durs au miel, à la sève de pins, à la menthe et à la framboise.

Ensuite je suis dans ma chambre, je remarque qu’il y a une grande feuille accrochée au mur sur laquelle je peux voir des dessins d’enfants, un escargot, un petit dinosaure et un papillon coloriés grossièrement et sûrement fait avec des pochoirs.
Il y a aussi 6 ou 7 phrases écrites d’une main d’enfant avec des pastels de différentes couleurs.
Je me souviens juste de la phrase "Qu’est ce que des lesbiennes?" écrite en bleu,
avec écrit juste en dessous en rose "Des femmes".

Ma mère rentre, elle m’explique que ce dessin, c’est la mère de X( ?) qui me l’avait donné quelques mois après la mort de son fils à cause de "je ne sais plus quelle maladie"
X et moi l’avions fait ensemble quand on avait 2 ans.

Je suis super ému et je me mets à chialer.
Pas parce que X est mort, surtout parce que ça fait un souvenir et que c’est super les souvenirs d’enfance.

Plus tard je suis dans un magasin d’électronique dont je me souviens plus du nom, mais ça faisait un jeu de mot avec le mot « aviaire », un truc du genre "Au quadripôle aviaire", sauf que là y’a pas de jeu de mot.

Enfin bref, arrivé à l’intérieur, je remarque que ma jambe gauche est 2 fois plus longue que la droite, du coup je marche avec le pied droit et le genou gauche.
C’est bien chiant, surtout que j’arrive pas à relever le reste de ma jambe gauche pour marcher à cloche pied..

dimanche 17 juin 2007

Nuit du 16 au 17 juin 2007

Je suis à la gare avec une grosse valise, je discute tranquillement de choses diverses avec tous les Belges de Libramont.


Je suis ensuite sur une grande place ensoleillée avec plein de restaurants partout qui proposent tous des pâtes avec de la sauce tomate.
Je m’enfile donc une grande plâtrée de spaghettis sauce tomate en terrasse, c’est vraiment super bon.
Au bout de la place, sur un pont, ce trouve la plupart de mes amis.
Ils sont là, mais il y a aussi plein d’autres personnes super sympas que je connais pas, moyenne d’âge 15/23 ans, je suis totalement lucide, j’ai pas bu ni fumé, et je me sens super bien.
Il y a aussi un petit gars moustachu de 24/25 ans assis à une des tables de restaurant qui sourit tous le temps et qui enchaîne bière sur bière.

On discute de tout et de rien, à un moment une fille avec des longs cheveux bruns et un joli visage touche mes deux petit grain de beauté sur ma joue gauche en disant je ne sais plus quelle phrase.
Elle m’explique que c’est une coutume de chez elle, je lui réponds que si elle veut j’ai un grain de beauté sur la bite, elle me répond seulement par un joli sourire amusé.

J’apprends ensuite qu’il y a Arthur F. qui se trouve en dessous du pont avec sa bagnole et qu’il arrive pas à venir en haut.
Je vais le rejoindre en bas pour lui expliquer comment faire, c’est vrai qu’il faut retraverser toute la place pour pouvoir aller en bas du pont et c’est assez loin.
Arrivé près de lui, je lui explique le tout et on déconne un peu ensemble, mais ma mère me téléphone pour me dire qu’elle vient me rechercher et qu’elle est bientôt arrivée en haut du pont.
Je veux pas la faire attendre, alors je dis vite fait au revoir à Tutur et je fais le chemin inverse assez rapidement.
Sur le chemin je vois Laurent (le goth) en train de manger des gnocchis à la sauce tomate, je lui fais un rapide bonjour de la tête et je trace.

En arrivant en haut du pont, je remarque que le type moustachu assis à la terrasse est en train de se gerber dessus.
Je viens l’aider à pas tomber dans ça gerbe.
C’est chiant, il continue de gerber et il en fout un peu sur mon pull.


Je me réveille.


Pas envie de me lever, je reste dans le lit et je me rendors.


Je suis alors dans une piscine genre piscine municipale et je remarque que je rêve.
Un grand mur blanc vient se mettre par dessus la flotte et la recouvre totalement.
Il y a quelques trous dans ce mur qui permettent de respirer, mais le truc c’est qu’il faut les trouver.
Vu que je remarque que je rêve, je pourrais respirer dans l’eau, mais je décide de jouer le jeu et trouve un tout petit trou, juste de quoi passer le nez pour respirer.
Après avoir pris une bonne inspiration, je regarde en dessous de moi et remarque qu’il y pas mal de gens à poil asphyxiés au fond de la piscine.
Je me dis alors que mon rêve bug, les corps devraient remonter à la surface au lieu de couler.
Je vois alors quelqu’un qui a trouvé un passage qui permet de sortir de la piscine, je le suit.

Je suis enfin sorti de la piscine, autour de moi c’est vide, à part une fille en robe qui marche avec des tallons aiguilles.
Je me demande bien ce qu’elle peut foutre ici.
Je la suis, elle descend un escalier puis s’assoit sur un banc; je m’assois à côté d’elle.
Je remarque alors que je suis à poil et lui demande si elle veut baiser.
Elle me regarde sans rien dire , quand son visage ce met à ce déformer et je me réveille :-(


Je reste alors une bonne heure dans mon lit en espérant me rendormir mais j’y arrive pas, alors au final je me suis levé.

Nuit du 13 au 14 juin 2007

Cette nuit, en allant dans un smart-shop, je vois qu’en plus des produits habituels, ils ont de très grands aquariums qui contiennent des poissons modifiés génétiquement.
Je m’attarde sur un deux contenant des poissons ressemblant à des dinosaures, ils ont tous de très grandes dents, même les herbivores.
Un diplodocus palmé essaye de casser la vitre pour se barrer dans un autre aquarium, ils ont vraiment l’air de se faire chier là dedans.
Je remarque ensuite qu’il y a une pharmacie dans le smart shop.
Pour avoir tout ce que l’on veut, il suffit juste de prendre une ordonnance, la remplir et jurer sur l’honneur qu’on prendra le médicaments uniquement dans le but de ce soigner.
Sur le coup, je me dis « vive la société de consommation »…

Plus tard, je me retrouve dans une sorte de parc assez ensoleillé, je suis assez tranquille posé avec des amis.
Arthur F. file son join par inadvertance à un espagnol d’une 40aine d’année; je remarque qu’il s’attarde sur le join, et qu’il est parti pour se le finir tout seul.
Vu que j’ai pas fumé de toute la journée et que j’ai pas de matos, je vais lui demander si il peut me le refiler; il commence à s’énerver et à me parler en espagnol, je comprends pas grand chose mais j’essaye de lui répondre en espagnol sans y arriver réellement.
Au bout d’un moment je me retrouve tout seul avec l’espagnol dans un petit couloir (toujours ensoleillé), il continu de gueuler et me soulève par le col.
Au final, amusé par mon accent de merde, il me trouve sympa et décide de m’offrir son pouvoir ; un pouvoir superbe et humainement possible.
Tout en m’offrant son pouvoir que je sens pulser dans tout mon corps, il m’éclate le dos à plusieurs reprises contre le mur situé derrière moi.
Après il me relâche et se casse.
Je suis content car j’ai son pouvoir, par contre le join a disparu…

Dans le rêve d’après, je me trouve à Carrefour.
Il y a Sephirot qui m’appelle pour me demander si je vais à l’IRL de Demange, je lui dis que j’en sais rien, que j’essayerai de venir et je raccroche.
En attendant, je trie dans un rayon les yaourts périmés des non périmés et garde tous les périmés, car ils sont gratuits.

Ensuite je me réveille , il est presque 11H du mat, je me rendors pour faire un autre rêve.

Je suis dans un gîte, on fait un repas avec les autres pensionnaires.
Mon frère en fait partie et à la fin du repas il sort pour fumer ça clope, je sors avec lui.
Là on entend des cris de jouissance, je regarde un peu partout d’où sa peut provenir et vois une fenêtre ouverte, il y a un type qui est en train de prendre en levrette un très jolie blonde.
Je sais que c’est un Italien et que la blonde c’est sa femme.
Des clients du gîte s’insurgent contre ce spectacle; moi je regarde jusqu’à la fin et attends que le rital sorte de chez lui.

Une fois qu’il est sorti, je vais toquer à la porte de la Blonde, elle me reçoit les seins à l’air et m’invite à rentrer.
Elle retire le bas en me disant qu’il faut faire vite car son mari peut revenir d’un moment à l’autre.
Je me déshabille à mon tour et la prends en levrette dans sa chambre.
Le téléphone sonne alors, elle me répond qu’elle doit aller voir si ce n’est pas son mari.
Elle trouve le téléphone mais ne trouve pas la touche pour répondre, j’essaye de l’aider à la trouver mais j’y comprends rien non plus et j’ai envie de continuer à la baiser.

Réalité : Ma mère vient alors me réveiller en me disant qu’il est plus de midi… Merde, fait chier…

Introduction dramatique

J'ai créé ce Blog pour y raconter mes rêves quotidiens.

Bon je sais pas si je le ferai tous les jours, premièrement car il y a des jours où je me souviens pas de mes rêves (et oui, ça arrive), deuxièmement, car il peut m'arriver d'avoir la flemme (ce qui peu arriver encore plus souvent).


Je veut tout d'abord signaler que dans les rêves il n'y a aucun sens moral, il peut donc arriver que je fasse des rêves incestueux/pédophiles/cannibales/meurtriers ou que sais-je encore.
Cela ne veut absolument pas dire que je penserai à faire ces actions dans la vie courante, ni même que j'ai pensé à ces actions, les rêves jouant aussi sur l'inconscient.

Je ne suis donc pas un monstre, et je me considère même comme une personne très saine d'esprit (et très modeste ^^).

Donc mesdames, ne vous faites pas non plus d'idée si j'explique en détails la façon dont je vous ai sodomisée alors que vous aviez une pomme dans la bouche et les mains liées dans le dos :P