vendredi 21 décembre 2007

Nuit du 22 au 23 Novembre 2007

Je me trouve dans un gigantesque labyrinthe sur plusieurs étages avec de nombreux escaliers en colimaçons, mais sans marches et sans barrières de protections.

Après m’être bien perdu pendant pas mal de temps, je trouve un commissariat dans le labyrinthe et demande à une flic si elle sait où se trouve l’architecte de cette sublime infrastructure.
Elle me répond qu’il se trouve là bas, tout en me montrant une ouverture dans un mur un peu plus loin.

J’y vais et arrive dans une grande salle avec pas mal de monde qui dansent sur de la drum’n’bass, et le DJ mixe dans une immense bibliothèque.

L’architecte danse aussi, je vais le voir pour discuter, il me dis q’il vaut mieux sortir parce qu’ici on ne s’entend pas parler et que c’est bourré de flics.

Je sors donc du labyrinthe avec lui; là bas je rencontre un noir et je suis enceinte de lui.
Je lui propose donc de nous marier.

jeudi 20 décembre 2007

Nuit du 9 au 10 novembre 2007

Tout commence au moment où je dois aller chercher la clé du sommeil profond dans le soutien gorge de Pauline S., coté seins gauche.

Ensuite je me retrouve dans une sorte de jeux vidéo, pour pouvoir utiliser la clé, je dois tuer des monstre et récupérer les objets qu’ils me donnent.

Je regarde donc sur mon radars où sont les monstres et je me trouve dans de grande pièces assez colorées, avec beaucoup de coins, de marches et de pilonnes en marbre.

Ce qui est marrant, c’est que les monstres sont tout petits, invisibles à l’œil nu, alors je regarde où ils se trouvent sur le radars et je les écrase avec mes pieds, après cela il apparaît des objets; des pailles fluorescentes, des petites pilles plates, une balle de baby-foot, une paire de ciseau, des petits parasols à cocktail et encore de multiples autres choses.

Au moment où mes poches sont pleine, j’arrive dans une petite salle avec une boite qui a une serrure, je retrouve la clé du sommeil profond et j’ouvre la boite, j’y trouve alors une autre clé qui me propulse dans un autre environnement ; après réflexion, je pense bien que c’était la clé du ru rêve lucide.

A ce moment je suis conscient que je rêve mais juste assez pour pouvoir remarquer que je rêve sans pouvoir réellement le modifier ou le casser.

Je remarque alors que là où je suis propulsé, c’est chez mon frère, je discute donc avec lui, sa femme et Magali ; ensuite je joue un peu avec Lucas dehors.
Il fait super beau, le soleil brille et je respire la joie de vivre.

A un moment je vois un chat qui ouvre la gueule, je me demande ce qu’il peut y avoir à l’intérieur, je met alors ma tête dans sa gueule, puis mes épaules, et je pousse jusqu’à ce que mon corps soit entièrement rentré dedans.

Malheureusement, je ne me souviens pas de ce qu’il y a à l’intérieur du chat, mais je me retrouve dans un festival le nuit en pleine ville de Liège, et apparemment je suis bourré.

S’en suit une discussion sans grand intérêt avec un parfait inconnu sur le prix trop élevé d’un nouvel opiacé plutôt léger vendu sans ordonnance en pharmacie.
Même la pharmacienne est d’accord là dessus.

Je quitte la discussion pour aller vois les concerts, sur la route je rencontre Mathieu le Tahitien, je lui dis bonjour, il me rend la pareil et me dis qu’il n’as pas le temps de discuter car il doit retrouver quelqu’un.
Je lui rétorque qu’on est dans un rêve, et qu’il peut à tout moment se téléporter à côté de la personne en question ou la faire venir ici.
Il me regarde sceptique et dit qu’il préfère quand même y aller à pied.

Je poursuit mon chemin vers la scène et arrive devant de la superbe arteck, je me met à danser comme un dégénéré, me roulant même par terre et gueulant des bruits bizarre à tout vas.
Plusieurs personnes me regardent d’un mauvais œil, mais je m’en fout, je suis dans un rêve, rien à foutre de leurs morale à la con.

Après un bon moment de transe provoquée par la danse et la musique, je ressort de la gueule du chat.
Après être sortit, je commence à le caresser, mais il se met à convulser, et un autre chat sort de sa gueule.
Je me dis que c’est fout tout ce qu’on peut mettre dans un chat.

Je suis dans la cours ensoleillé de la maison de mon frère et il y a comme avant cette sensation de grande joie, mais cette fois il n’y a plus personne dehors.

Je rentre alors dans la maison et cette fois la joie laisse place à une sensation de solitude causé par un rejet (c’est assez dur d’expliquer l’état mental dans les rêves, mais je trouve que c’est la sensation qui s’en rapproche le plus).

Il n’y a plus que Magali qui se repose dans un transat ; je lui demande où son les autres.
Elle me répond qu’elle pense qu’ils sont là bas, et me montre du doigt une entrée qui mène à la salle des petits monstres invisibles de mon deuxième rêve.

Je retourne dans cette salle mais ne me souviens de rien ensuite.

Lorsque je commence à me ressouvenir de mon rêve, je suis à nouveau au festival de Liège la nuit, et je pelote soigneusement le seins droit d’une très jolie fille.
Elle commence alors à me masturber et je me met à la doigter.
Au bout d’un moment je suis proche de l’orgasme, je me demande alors si je doit tout lâcher dans mon caleçon dans le rêve, et encore pire, tout lâcher dans mon pyjama dans la réalité.

En attendant, je me concentre pour penser à autre chose dans le rêve pour faire durer plus longtemps le plaisir.

Finalement au moment où je me décide à tout lâcher, je commence à me réveillé tout doucement et je n’aurais pas eu le droit à l’orgasme.

Rêve de septembre: La grande épopée

Ce rêve est un rêve qui m’est déjà arrivé dans le passé il y a quelques années ; c’est un rêve dans lequel je rentre dans une grotte avec pleins d’autres personnes et où chacun vit des expériences qui ont un rapport avec leurs vie, leurs peurs, leurs sentiments, leurs plaisirs, etc…

Cette nuit j’apprend que ça vas recommencer, je demande à pleins d’amis si ils veulent qu’on y aille tous ensemble, sachant bien que l’on vas inexorablement se perdre de vue à un moment.

Je met pas mal de temps pour appeler et réunir tous le monde, c’est assez marrant car sur les téléphones portables lorsque l’on appelle quelqu’un il y a une image qui s’affiche à la place du nom, et Mathilde P. a une image digne des plus belles visions sous DXM, par contre je suis un peu triste car Claire n’est pas là.

La grotte se trouve au bout d’une grande étendue d’eau; pour y accéder, on doit tout d’abord marcher sur des gros tuyaux jaune et bleu au dessus de l’eau.

On y vas donc gaiement, y’a pas mal de monde, il se trouve même le loup des trois petits cochons qui nous dépasse, je me dis que c‘est un type qui contrôle son rêve et qui s’amuse.

Arrivé au bout des tuyaux, l’eau est remplies de bouées, tonneaux, canots en bois et pneumatiques, radeaux, bouts de bois, etc… qui sont emmenés par un courant vers la grotte.
Ils servent de moyen de transport et les trois quart sont déjà en possession de divers individus.

Je saute dans l’eau et repêche un canot pneumatique dégonflé et entreprend de la gonfler.
Nounours me dit que je le gonfle mal, il m’énerve à toujours me critiquer pour des trucs cons, mais je redouble de rapidité pour lui montrer que je sais bien gonfler les canots pneumatiques.

Un petit moment plus tard, nous avons tous un moyen de transport et on dévie lentement vers la grotte.
J’entend alors une voie féminine derrière moi qui prononce mon prénom, je me retourne et voit une fille dont le visage ne me revient pas, j’ai sûrement dû discuter avec elle lors d’une soirée où j’étais bourré.

On discute ensemble, pendant ce temps mes amis prennent de l’avance ; Cedric S. m’appel pour me dire qu’ils vont bientôt entrer dans la grotte et qu’ils ne m’attendent pas, je lui répond que j’arrive bientôt, je discute un peu, de toute façons on se retrouvera bien à un moment à l’intérieur.

Je rediscute donc avec la fille et elle me dis "Au fait tu te… toujours" tout en imitant le fait de s’injecter quelque chose dans la veine de son bras.
Je jette un regard incrédule et lui répond que je ne me suis jamais rien fixer.
Elle me dis alors "Ouais, c’est ce qu’on dit", et je lui répond "Mais c’est vrai !!!"

Après ces quelques phrases, elle me sourit puis se transforme en gargouille et s’envole.
Je prend donc conscience que c’était un "cauchemar", la salope elle m’a bien eu !

Je me retourne pour voir s’il y a encore quelqu’un que je connais près de la grotte, mais je ne vois que des inconnus.

Ensuite je me r’approche lentement de l’entrée de la grotte… Puis je me réveil.