vendredi 27 novembre 2015

Nuit du 26 au 27 Novembre 2015

Je suis en prison en visite pour aller voir Bouss, je ne sais pas comment j'ai réussis à rentrer pour une visite alors que je ne suis pas de la famille, mais on est là dans la bibliothèque de la prison à discuter.

Durant la discussion il me dit qu'il a trouvé une disqueuse et on pourrait s'évader en faisant tomber le mur, je trouve l'idée très bonne, et effectivement la première partie du mur réussi à tomber uniquement grâce à une simple disqueuse, mais derrière se trouve un deuxième mur qui était collé au premier, il est composé d'un peu de plâtre et de nombreux carrés de plexiglas qui sont disposés les uns sur les autres et dont les côtés font une cinquantaines de centimètres.

Le plâtre adhère mal au plexiglas, du coup après avoir fait une petite brèche avec la disqueuse on peut casser le mur à la main en soulevant les plaques, mais une fois qu'on a enfin réussis à faire un trou suffisamment grand on remarque qu'en passant dedans on est toujours dans la prison, bah oui, on est un peu con, la bibliothèque se trouve au milieu de la prison, du coup on risquait pas de pouvoir s'évader en cassant le mur.

Je me prend alors 6 mois de prison ferme pour tentative d'évasion, en fait la prison c'est pas trop mal, je passe tout mon temps à la bibliothèque à lire, mais je dois bien avouer que mes amis me manquent, je planifie alors mon évasion, et ça tombe bien, elle sera pour aujourd'hui, car un magicien doit venir d'ici quelques heures dans la bibliothèque pour montrer ses tours aux détenus.

Une fois le magicien arrivé il est de plus suivi par une classe de collège qui a été invitée à regarder le spectacle; c'est d'autant mieux car ils sont assez bruyant et ça va permettre de couvrir mon évasion, même si je ne sais pas encore comment je vais m'y prendre.
Je vois une autre détenue qui me regarde, je lis dans son visage qu'elle aussi est en train de vouloir s'évader, elle me montre de toutes petites fenêtres en haut du mur par lequel on avait voulu s'enfuir avant et qui a été reconstruit entre temps, et elle se met à escalader le mur puis réussi à passer à travers la fenêtre.
En voyant la taille de la fenêtre je me dis qu'elle est vraiment trop petite, mais étant aussi mince que la fille, si elle a réussis à passer je devrais aussi pouvoir y arriver. Et oui ! J'y arrive aussi bel et bien, par contre une fois de l'autre côté je tombe directement sur deux gardiens.

Ce sont un blanc et un rebeu, le blanc me regarde avec incrédulité et n'a pas l'air très sympa tandis que le rebeu qui a l'air plus cool me demande si je suis en train d'essayer de m'évader, je lui réponds que oui, il esquisse un sourire et je vois qu'il se force un peu pour ne pas rire ; bah oui, car je suis encore plus con que la première fois, j'ai à nouveau tenté de m'évader par le même mur et je me retrouve à nouveau au beau milieu de la prison.

Alors qu'il est en train de me mettre des menottes le rebeu me demande pourquoi je suis en prison, je lui réponds que c'est pour tentative d'évasion mais qu'à ce moment ça ne servait à rien que je tente de m'évader car j'étais juste là en visite, il arrête alors de me mettre les menottes et éclate dans un fou rire, je me met aussi à bien rire en me disant que sur ce coup là ma connerie n'a eu aucune limite.

Je me réveille par la suite le sourire aux lèvres.

jeudi 26 novembre 2015

Nuit du 12 au 13 Novembre 2015

Je suis avec un type d'une quarantaine d'années et on cherche un coin où se poser pour dormir, je reconnais une gigantesque villa faite de plusieurs maisons avec différentes architectures qui est en réalité une chapelle, je le sais car le pasteur nous as déjà hébergé plusieurs fois par le passé et elle est toujours ouverte à tous ceux qui veulent y aller.

On entre donc dedans, j’appelle pour savoir s'il y a quelqu'un mais ça a l'air d'être vide, j’entreprends de faire visiter les lieux au mec qui m'accompagne, et je me rend compte que je suis en train de rêver car les pièces ne sont plus exactement les mêmes que dans mes souvenirs, des fenêtres ont changées d'endroit, ou le carrelage est différent.

En faisant la visite je me souviens d'un autre rêve où l'on buvant gaiement dans l'une de ces somptueuse pièces, avec le pasteur bien sympa qui était lui aussi un peu pompette mais qui restait en même temps très sérieux.
Alors que je suis dans mes pensées on arrive dans une grande pièce avec au milieu un lit trois places qui serait l'endroit idéal pour dormir, mais dans un recoin de la pièce un type se met à tousser, c'est un camé qui est posé et qui nous fixe le regard dans le vide, je lui demande si il va bien mais il reste aphone, je me retourne alors pour voir ce que deviens le mec qui m'accompagnait et je le vois les yeux injectés de sang s'approcher de manière agressive vers le camé avec un long couteau à dents crantées dans la main.
Je me dis alors "Merde, le rêve était cool mais là il est en train de partir en couille grave", j'essaye de résonner mon pote mais je suis alors réveillé par ma chatte Obsidienne qui vient se poser sur moi pour dormir.


Dans un deuxième rêve je suis dans mon lit mais l'espace environnant n'est pas ma chambre, il fait nuit et je ne peux rien voir, mais je sens que ce n'est pas ma chambre.
Je sais qu'un circulaire dans lequel il est écrit qu'un homme vient embêter les gens dans leur sommeil et qu'il peut être dur à supporter est en train de tourner ; je ressent alors une mains qui me caresse la jambe, je sais que c'est lui mais ne bouge pas, en même temps je dors, du coup c'est un peu dur de bouger.

Pour l'instant ça ne me dérange pas trop, mais petit à petit il remonte ses mains jusqu'à me caresser les testicules, là c'est autre chose, j'ai la sensation qu'on est en train de violer mon intimité, mais je n'arrive toujours pas à bouger ni à me réveiller, je peux quand même lui parler mais télépathiquement et lui somme d'arrêter, mais il n'en a cure, alors je lui dis que je ne supporte plus qu'il me les caressent, au bout d'un moment je répète et cris "je ne le supporte plus, je ne le supporte plus, je ne le supporte plus", au bout de la troisième fois je me réveille en donnant un grand coup de pied sur mon lit avec ma jambe gauche, ce qui fait fuir mon chat qui dormait paisiblement sur mes jambes.

A bien y penser, je pense que l'homme (ou apparenté) qui était là est le même que celui que j'avais déjà rencontré dans la nuit du 16 au 17 Novembre 2008.


Heureusement le troisième rêve fut plus sympa, Arnaud Christine a créé un tableau contenant plusieurs mots et images et il est possible de les entremêler afin de faire des jeux de mots, mais vu que j'ai bien tardé à écrire ce rêve je ne me rappel plus lesquels, ce qui est plutôt ballot car ils étaient bien rigolos.

lundi 9 novembre 2015

Nuit du 8 au 9 Novembre 2015

Je suis dans un camp avec pleins de caravanes, elles ne sont plus faites pour rouler car elles sont aménagées d'une certaine manière où on peut aller d'une caravane à l'autre grâce à des cloisons qui ont étés retirées, ou par l'intermédiaire de grand tubes en plastique dur et transparent, d'ailleurs certains des tubes n'amènent non pas dans une autre caravane mais dans de grandes pièces faites elles aussi en plastique.
C'est plutôt bien fait, et je me demande pourquoi on a pas pensé avant à créer des maisons en plastique, c'est peu cher et esthétiquement ça rend bien.

Avec d'autres personnes ont fait des simulations de vol grâce à des grandes lunettes qu'on a sur les yeux, c'est dans un monde où nous sommes tous interconnectés, et parfois je me demande si c'est toujours de la simulation ou si c'est la réalité.

Plus tard mon neveux Lucas me montre ce qu'il sais faire avec sa petite main greffée sur sa joue un peu en dessous des zygomatiques, il peut déboiter les différentes phalanges et faire pleins de trucs rigolos, de mon côté j'essaie avec la mienne mais je suis très peu habille.
Il me demande comment ça se fait que j'arrive à faire aussi peu de choses, et ça mère répond à ma place en lui expliquant que pour lui elle lui a été greffée à la naissance alors que pour nous c'est assez nouveau, il a donc fallu qu'on s'y habitue et elle nous est plus dur à utiliser.

Dans un autre rêve je suis un militaire dans une caserne, l'ambiance est plutôt sympa, et au bout d'un moment plusieurs femmes arrivent avec lesquelles nous devons faire l'amour pour qu'elles puissent redevenir des zombis.

On met des matelas sur le sol dans une grande salle où nous sommes tous réunis, chaque personne a une femme avec qui il doit coucher, pour moi c'est une grande brune, plutôt jolie, mais avec qui je ne ressent pas vraiment d'affinité au premier abord.
Elle se dénude et me file une capote, apparemment on est obligé de la mettre, une fois mise la femme tiens je ne sais pour quelle raison à ce que j'en mette une seconde par dessus, ce que je ne veux pas, alors elle me la met elle même, ce qui me fait bien chier car la première capote était déjà trop petite et me sers trop la bite ce qui empêche l'afflux sanguin d'arriver normalement et ne me permet pas d'avoir une érection maximale.
Pendant que je fais ma petite affaire sans grande conviction j'écoute ce qui se dit à côté et j'apprends que suite à l'éjaculation on va ouvrir notre crâne et retirer une partie de notre cerveau pour faire de nous une autre forme de zombis, que l'on devienne des travailleurs dociles incapable de penser, ils font ça sur les militaires car ils sont généralement en bonne condition physique.

Je me dis alors que merde, je vais à moitié crever et le sexe est pourri, c'est vraiment pas ma journée, et puis la fille ne m'aide pas non plus, alors j'y vais de façon plus bourrin, mais ça n'empêche pas le manque de sensation lié à la capote trop serrée et le fait que la fille soit pas super active.
Tiens, elle se met quand même juste à me toucher les couilles et le périnée, sauf que je suis super sensible du périnée, j'essaie de l'en empêcher mais elle continue, ce qui fait qu'au bout d'un moment j'éjacule mais sans réellement avoir un orgasme, je continue de la ramoner comme si de rien n'étais en espérant que le sperme ne se mette pas à couler hors du préservatif, j'ai quand même envie d'avoir un orgasme avant d'être zombifié, mais pas de chance, une de celles qui s'occupe des lobotomies remarque que j'ai éjaculé, elle vient me voir, et malgré mes protestations m'ouvre le crâne grâce à l'ongle de son index qui est hyper coupant, puis me retire une partie du cerveau.

A ce moment j'ai encore l'image mais j'ai complètement arrêté de bouger, et je ne réfléchis plus, je suis comme vide, ça dure une trentaines de secondes, puis je me réveille.

vendredi 9 octobre 2015

Nuit du 20 au 21 Septembre 2015

Je suis à un mariage, Camille a la trentaine et son cousin un peu éméché s'inquiète pour elle, il a peur qu'elle n'aie de mauvaises fréquentation et qu'elle tombe dans les drogues et la luxure ; pourtant elle a l'air parfaitement bien dans sa belle robe et tout à fait lucide.

Son cousin a la taille de Ponpon et ressemble à Ponpon intérieurement, mais hormis sa taille physiquement ce n'est pas lui, il a environ 45 ans, les cheveux longs gris et le visage creusé.

Le mariage se passe dans le désert, à un moment pleins de mini tornades se créent autour de nous, ça fait un peu peur aux invités, la base de l'une d'entre elle se trouve dans un gobelet en plastique posé sur le sol, je prend alors le gobelet, coupe la base de la tornade pour qu'elle tourne dans ma main, de la lumière et des couleurs passent de ma main pour aller dans la mini tornade, c'est vraiment très beau, elles se mettent à former différents symboles, puis la mini tornade disparait.


2ème rêve : Guillaume le Magicien sort un insecte de sa poche qui ressemble à un perce-oreille mais noir et avec une plus petite pince, il me le donne, celui-ci joue sur ma main puis tourne autour de mon poignet ce qui fait que je ne peux plus le voir, je retourne mon poignet pour voir où il en est et il est en train de creuser un trou pour rentrer dans ma peau, je ne sais pas quoi faire car il est déjà bien avancé dans son entreprise et le voir rentrer comme ça dans ma chair me terrifie légèrement.
Une fois qu'il est entièrement rentré à l'intérieur il fait un tour sur lui même sous ma peau et laisse sortir uniquement sa tête, avec mon autre main je prends alors les côtés de mon poignet et pousse dessus afin de faire sortir l'insecte, ce qu'il fait mais un second sors alors la tête, je réitère mon entreprise et celui ci sort à son tour.

Je comprends alors que c'était un couple d'insecte qui cherchait un endroit où leur progéniture serait en sécurité, si j'avais su ça avant je leur aurait peut être laissé un petit endroit dans mon corps pour qu'il puisse le faire, en attendant ils m'ont bien fait flipper à rentrer comme ça dans mon bras, même si bizarrement je n'en ai ressenti aucune sensation de douleur.