jeudi 30 août 2007

Nuit du 29 au 30 août 2007

Pas loin de chez moi, dans mon petit village paumé, je remarque qu’il se trouve un distributeur d’œufs en plastique renfermant des petits jouets pour les gamins.

Je remarque que le distributeur recrache des pièces de 1€ et 2€ de temps en temps, en le secouant, j’arrive à en faire sortir plein, ainsi qu’un bonne rivière de sable.

Je prends donc toutes ces pièces dans mes poches, le sable avec… Pourquoi prendre le sable? J’en sais rien…

Plus tard, je vois une colonie de vacances avec deux charmantes animatrices arriver près du distributeur, quelques gosses viennent acheter des œufs en plastique, tandis qu’une des animatrices préfère prendre des bandes dessinées à l’intérieur du distributeur.

Ah bah oui, car maintenant on peut rentrer dans le distributeur, et on dirait pas de l’extérieur, mais l’intérieur est vachement grand!!!

En plus des œufs, il se trouve justement pas mal de bandes dessinées, je regarde un peu ce qu’il y a, Gaston Lagaffe, Boule et Bill, Cédric, Achille Talon… Je préfère prendre l’argent; vu que je suis pas loin, je pourrai retourner les lire sur place si l’envie m’en prend.


Entracte :
Je suis avec Chamo, Cedric S. et Pauline S.
Chamo va à la friterie du coin, lorsqu’il revient avec des frites, son nez est tout fin.
Il nous explique qu’il y avait une offre spéciale à la friterie, et qu’il s’est fait refaire deux fois le nez pour 900€.
Fin de l’entracte.


Je me retrouve dans une sorte de labyrinthe, j'ai un coéquipier et on a des flingues.
Je vois l'équipe adverse, c'est Bukowski et avec un autre type, au début j'ai crus que c'était Burroughs, mais je trouvais ça bizarre qu'ils soient ensemble.

Bukowski est non ivre, heureux et vivant (?).
On se tire dessus pendant un petit moment, jusqu'à ce que je me retrouve à un ou deux mètres de Buk, à ce moment je flippe complètement, mon bras tremble et aucun de mes tirs ne l'atteignent.
Je me suis donc enfuit mais il me suit toujours en riant.

A un moment je ressens fortement les battements de mon coeur, je me retourne alors au ralenti, je vise la tête et tire deux balles, la première ne le touche pas tandis que je vois la seconde aller tout droit dans son front.
La balle est au ralenti et je peux voir distinctement son impact lorsqu'elle touche et traverse son crâne.

Je me tourne alors vers la droite toujours au ralenti pour voir le second adversaire, cette fois ce n'est vraiment pas Burroughs, mais un type assez gros du genre la caricature de l'américain moyen.
Je continue de tirer et lui envoie deux balles dans le ventre; il s'écroule.

Je suis vraiment soulagé et le temps reprend son cours normal, par contre je me dis qu'il va falloir que je ramène les cadavres à l'accueil pour qu'ils puissent les ressusciter.


Dans mon dernier rêve, je suis dans une école supérieure Belge, il fait beau, le soleil brille et tous le monde a attrapé le virus de la goule.

Personne ne sait ce que cela va engendrer, mais il y a déjà eu des personnes très malades, avec fièvre et vomissement, ainsi que des morts.

Au bout d'un moment je ressens le premier symptôme, et je vois qu'il apparait sur mon front d'étranges symboles ressemblant aux hallucinations provoquées pas les champignons.
Je suis très heureux, et j'ai hâte de voir ce que ce virus va provoquer, mais malheureusement je me réveil un peu plus tard.

lundi 20 août 2007

Nuit du 15 au 16 août 2007

Je suis dans une baignoire, avec moi il y a aussi Arthur F., et un couple de noirs ; on est tous à poil.

La femme est super bandante, je commence à lui caresser le sein droit tout en lui proposant un truc à quatre.

Elle me dit qu’elle doit voir ça avec son mari, ils se concertent, et pendant ce temps je continue de caresser les parties intimes de cette jolie négresse.

Au bout d’un moment elle refuse l’offre, son mari ne veut pas.

Je me dis alors "Merde c’est quand même con que je ne puisse pas tirer mon coup alors que je suis dans un rêve!"

Juste après avoir pensé cette phrase, je me réveille d’un coup dans la tente, Arthur F. à mes côtés, je lui dit que c’est bête qu’on ai pas pu se la faire.

Il me répond que de toute façon, physiquement il aime pas trop les noires.

Tiens je me dis que c’est marrant, on a vraiment fait le même rêve au même moment… En réalité j’étais bien tranquillement en train de dormir dans mon pieu, et je me suis une fois de plus fait avoir par un faux réveil.


Dans un autre rêve, il fait jour et je suis en ville.

Je suis un clochard ou un truc dans le genre, en tout cas je crois bien être bourré et j’ai une putain d’envie de chier.

Je cherche partout dans la ville des toilettes publics, une bibliothèques, un bar, enfin, un endroit où je puisse aller chier.

Au bout d’un moment j’en peux plus, je mets ma main dans mon froc, et je chie dans ma main; je mets mes sels dans la première poubelle venue, mais l’envie de déféquer est toujours là, alors je réitère plusieurs fois ce geste en attendant de belles toilettes en marbre blanc.

Au bout d’un moment j’arrive dans un petit parc, je vois alors une dizaine de GI avec mitraillettes et tout le bordel avancer vers un type qui pointe un flingue dans leur direction.

Un des GI, se met alors à gueuler et à mitrailler dans la direction du type au flingue, il le crible de balles ainsi qu’un autre GI qui était devant lui.

Son chef arrive alors pour l’engueuler et lui dire que ce qu’il à fait, c’est mal.


Dans mon dernier rêve je me souvient d’une belle blonde nue avec de jolie petits seins, mais c’est tout ce dont je me souviens.

Nuit du 28 au 29 Juillet 2007

Je suis dans la rue, je vois par hasard à travers la fenêtre d’une maison des gamins de 7 à 9 ans qui font le salut Hitlérien avec un type moustachu d’une quarantaine d’années.
Je lève alors mes deux bras en l’air pour leur faire deux gros fuck.

La maison d’après je vois un type apprendre des chansons facho à 3 gosses, j’attends qu’ils me remarquent et réitère mon geste obscène.

Ensuite je vois le Vélodrome pas loin, alors j’y entre.

Le moustachu me suit, me prend par le col, et m’engueule parce que j’ai fait des fuck à son gosse pendant son anniversaire.
Je luis réponds juste assez pour qu’il comprenne que c’est un gros con et ne pas me soumettre, mais aussi juste assez pour qu’il ne m’explose pas la gueule.

L’autre facho vient l’aider et je me prends quelques tartes, mais ça va, j’ai pas trop mal.

Les deux types partent et je remarque alors que ce n’est pas Cedric qui sert au bar mais Chamo.

Bon, la première phase de mon rêve est complètement bidon.


Plus tard je me retrouve en train de jouer avec un tas de types assez jeunes, ils doivent m’attraper pour je ne sais quelle raison.

Au bout d’un moment je remarque que le ciel se couvre, et il y apparaît de très jolis champignons formés de nuages noir.

Dans ma fuite, car on essaie toujours de m’attraper, j’arrive sur le balcon d’une maison suivi de 8 autres personnes.

A ce moment le ciel est entièrement recouvert de nuages d’un noir très profond, il commence à pleuvoir un peu et de très jolis éclairs apparaissent.
En plus des éclairs de très grand spectres arrivent devant nous, manteaux en lambeau et yeux retournés, il en apparaît de plus en plus à chaque éclair.

Autour de moi tous les autres ont super peur, quant à moi ils me fascinent, je regarde de façon extatiques ces êtres ectoplasmiques venir lentement vers nous.

Il y en a un qui me touche avec ça main, en fait il me traverse plutôt, et je ressens toute son énergie passer au travers de mon corps (ndlr : un peu comme l’esprit rencontré sous DXM).


Je ne me souviens pas vraiment de la suite, mais plus tard je me retrouve dans la maison d’Isaline G., elle ne ressemble pas du tout à sa maison, mais c’est pourtant bien elle.
Je veux faire une blague, alors je me cache, mais arrivé devant Patrick G., Isaline G. et sa grande sœur (dans la réalité je ne pense pas qu’elle aie de grande sœur…) ils ne me voient pas.

Il faut que je me mette à parler pour qu’ils me remarquent enfin, je suis devenu invisible.
Je me dis que ça doit être un coup des spectres, ça m’apprendra à trop vouloir explorer l’inconnu.