mercredi 14 mai 2014

Nuit du 8 au 9 mai 2014

Je suis dans un supermarché et j'ai de la diarrhée, je vais donc rapidement vers les toilettes en serrant les fesses.

En ouvrant la porte des toilettes je me retrouve devant une grande piscine, plusieurs enfants jouent dedans, je me dis que je dois m'être trompé malgré les panneaux, mais je remarque une autre porte tout au bout avec de nombreuses personnes qui attendent devant, je vais voir et ce sont bien les toilettes, mais un videur habillé en mafioso nous fais signe d'attendre. 

Au bout d'un moment il nous fait signe de rentrer, à l'intérieur les toilettes sont gardées par la mafia espagnole, ils sont au moins une quinzaine et ont tous des snipers de différents modèles, je me demande alors pourquoi des snipers, surtout dans une salle qui n'est pas très grande, et me dis qu'ils ont surement dus les avoir en promotion.

Il faut traverser un petit pont pour arriver devant une grande grille, tout en passant devant les mafieux qui gardent activement les toilettes et n'ont pas l'air de rigoler.
À droite de la grille accroché au mur se trouvent plusieurs clefs dont les têtes sont d'assez jolies petites sculptures avec des motifs différents pour chaque clef, après en avoir pris une au hasard il faut aller à des petits cassiers bleus et trouver celui sur lequel est dessiné le motif de la clef, puis mettre une pièce de 2€ pour pouvoir ouvrir le casier avec la clef, dans lequel se trouve une autre clef sur laquelle est inscrit le numéro de la toilette qu'il est possible d'ouvrir avec.

Devoir faire tout ceci commence à devenir gênant car l'envie de déféquer devient de plus en plus importante et je commence même à sentir que quelque chose coule entre mes fesses, je fonce donc vers les toilettes qui se trouvent derrière la grille en oubliant pas de saluer les deux gardes, mais je me réveille avant d'avoir pus trouver la toilette avec mon numéro.

Nuit du 5 au 6 mai 2014

Je ne me souviens plus du début du rêve, pourtant ce matin j'étais sur que je m'en souviendrais encore le soir, bref, les rares souvenirs qui reviennent sont ceux de deux filles brunes, dont l'une avec des cheveux légèrement long et frisés, ainsi que d'une assiette vide, mais surtout de mon humeur qui était mélancolique et taciturne, avec une sensation de manque, il me manquait quelque chose que je ne saurait expliquer.

Par la suite je me suis retrouvé dans une cafétéria d'étudiants à la FAC à Liège, ça devait être mon premier jour, j'ai discuté avec quelques personnes qui me paraissaient sympathique mais lorsque j'ai voulu aller manger avec elles j'ai remarqué que la totalité de leur table était prise, je suis donc allé m’assoir à une table avec cinq chaises vides.

J'avais un gâteau de riz en désert car ils n'avaient plus de petites compotes de pomme, à ce moment je pense que personne ne pourrait comprendre la douleur que j'ai ressenti en voyant que jamais je ne pourrais avoir cette petite compote de pomme, sérieusement, la vie vaut-elle le coup d'être vécu sans compote de pomme? J'ai donc peu mangé et suis allé dormir car j'étais fatigués.

Je suis dans une petite chambre, aux murs blancs et froids qui me font penser à un hôpital, et j'ai beaucoup de mal à dormir.
Le lendemain je me réveil en étant très joyeux, avec un important sentiment d'abondance, comme si tout avait changé, le vide était comblé et il y avait encore bien plus.

Aujourd'hui il fait très beau, je me retrouve je ne sais comment sur une grand place de Liège accompagné de pas mal de monde et nous allons tous ensemble à un petit tekos qui se trouve pas loin de la ville.
Des enfants qui ont entre 8 et 11 ans font une course qui traverse la place, l'un d'entre eux, une fille, vole une grappe de raisin sur un étalage tout en continuant la course, le vendeur la voit et n'a pas trop de mal à la rattraper.
Il la prend alors sous son bras et la ramène près de son étalage, la gronde et va remettre la grappe de raisin à sa place, puis prend une autre grappe de raisin plus grande et en la tordant dans tous les sens il arrive à faire la forme d'un petit caniche, comme avec des ballons de baudruche, qu'il donne ensuite à la petite fille dont le visage tout penaud d'avoir fait une bêtise s'illumine tout d'un coup.
Décidément, j'aime bien Liège.